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  • « Dans la vie, il n'y a rien, rien, qui n'arrive par hasard, rien qui ne soit hasardeux, rien qui ne soit injuste, rien qui n'ait de sens. La vie, le monde, tout est régulé avec justice et logique.

    Quand quelque chose de terrible, de douloureux, arrive dans ta vie et viens tout chambouler, quand tu es complètement perdue, dépassée, désespérée, que tu penses que c'est fini, que tout est foutu, que tu ne peux rien contre le destin, détrompe-toi. Chaque obstacle, chaque contre-temps, chaque chose qui arrive et que tu n'avais pas prévue, tout cela, tout cela arrive pour que tu le surmontes.

    Rien de ce qui n'arrive dans ta vie est trop dur pour toi. Rien. Si ça t'es arrivée, c'est que tu peux le surmonter, que tu peux trouver une solution et tu es ta propre solution.

    Alors quand tout va mal, prends un grande inspiration, pleure si tu en as besoin, puis prends le problème, regarde-le, regarde-le encore et encore, étudie-le jusqu'à trouver la solution.

    Parce que n'oublie pas.

    Rien n'est désespéré, rien n'est définitif, rien n'est fatal, rien n'est fini.

    Tant que tu es là, rien n'est fini. » 


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  • A l'an 2017, j'aurais 18 ans.

    J'aimerais que lorsque nous passerons en 2017, je puisse me dire que j'ai vécu cette année 2016 sans le moindre regret. Que je suis fière de chaque chose que j'ai fait, que je me suis donnée à fond dans chaque chose qui me tenait à coeur, que j'ai atteint mes objectifs. J'aimerais me dire que ce fut une belle année, une année qui me sourit enfin. Juste ça.

    Juste se dire que là, tout de suite, je suis bien et je suis heureuse.


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  • « Alors, je pense qu'il faut d'abord éclairer un point important.

    Les Femen n'ont rien avoir avec le féminisme, bien que certaines pensent qu'il s'agit simplement d'un genre de féminisme. Parce qu'en effet, il existe énormément de types de féminismes, c'est-à-dire que autant il y aura des féministes qui considèrent une égalité parfaite entre les sexes, autant il y aura des féministes qui revendiquent, en tant que femmes, leur nature fragile et sensible.

    Personnellement, je me situe dans l'entre-deux.

    Dans un premier temps, je considère l'égalité totale entre les deux sexes, je refuse et n'accepte aucune hiérarchie entre le sexe masculin et le sexe féminin. Il n'y a aucun rapport de supériorité/infériorité ou de soumission/domination (bien que dans la réalité, les choses soient complètement différentes).

    De même, je m'oppose à une liste de critères physiologiques pré-déterminés concernant chaque sexe, comme assimiler le leadership et la force mentale à l'homme et la sensibilité et l'amour à la femme, parce que nous ne pouvons faire de généralité pour chaque sexe et universaliser un trait de caractère - chaque être est différent de l'autre. Ce sont des archétypes qui ne font que gonfler les clichés autour des deux sexes et creusent encore plus les inégalités.

    Cependant, je ne dis pas que l'homme et la femme sont identiques. La différence est bien que je dis qu'ils sont égaux, mais pas entièrement identiques. Je pense qu'il y a une différence entre les deux sexes, et le fait le plus important est que j'utilise uniquement la science moderne pour déterminer ces différences.

    Par exemple, il est réputé et prouvé de longue date que l'homme prend plus facilement de masse musculaire ou a déjà naturellement plus de muscles que la femme, ce qui fait que l'homme a tendance à avoir plus de force physique. Cela devant être nuancé, évidemment. C'est donc une différence entre les deux sexes prouvée par la science et qui de fait, est vraie.

    Ce propos a pour but de vous amener à vous poser une question : à partir de quel repère peut-on déterminé l'égalité ou l'inégalité, la similarité ou la différence des sexes ? Pour la question de la similiratié, j'utilise la science qui peut à la fois nous prouver différences et ressemblances entre les sexes. Pour ce qui est de l'égalité, on utilisera plutôt la philosophie.

    Peut-être que parce que je suis de sexe féminin, cela m'empêche de concevoir mon sexe comme fragile et autres clichés ridicules, mais il faut rappeler que des femmes se revendiquent volontiers cette nature, parfois allant même jusqu'à se nommer sexe inférieur et soutenant volontiers le système patriarcal.

    Le fait est qu'il faut savoir se poser des questions et analyser, s'intéresser à ces questions, que nous soyons dotés de vagins ou de pénis. »


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